Publié le par Faculté des lettres - Université de Lausanne
Traduit de l'allemand par Auguste Dietrich et postface de Didier Raymond.
Nous sommes là assis ensemble, et nous parlons, et nous nous agitons, nos yeux brillent, nos voix s'élèvent. D'autres sont assis là absolument de même, il y a des milliers d'années.
Confronté au néant de la vie qui mène inéluctablement à la mort, Arthur Schopenhauer s'interroge sur ce primat de la Volonté, ce régime d'instincts, de pulsions et de désirs aveugles, qui nous pousse, malgré tout à vouloir vivre.
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