L’année Baudelaire, n° 26-27, 2022-2023
Fondée en 1995 par Claude Pichois, L’année Baudelaire rend compte de la recherche baudelairienne et s’ouvre aux nouvelles générations de commentateurs de Baudelaire.
Sommaire
À propos du procès des Fleurs du Mal, par Raphaël Belaïche
À la recherche de Jeanne, « ombre à la trace éphémère », par Ali Kilic
Baudelaire et Les Limbes, par Peter S. Hambly
L’Étranger du Spleen de Paris et Le Passant d’Étienne Eggis, par Alessio Baldini
Éclats. Le flâneur « jouit partout de son incognito », par Vadym Miroshnychenko
De l’image, des images, de l’imagination, par André Guyaux
Une conversation entre Meryon et Baudelaire en janvier 1860, par Fabrice Wilhelm
Comment la presse a enterré Baudelaire, par Jean-Clément Martin-Borella
Les dispositions testamentaires de Charles Asselineau, par Catherine Delons
« Le mouvement qui déplace les lignes ». De l’usage inversé d’un vers de Baudelaire dans quelques écrits sur le cinéma, par Marie Gueden
L’institution scolaire et Les Fleurs du Mal, par Patrick Haluska
La fortune de Baudelaire au Brésil, par Gilles Jean Abes
Machado de Assis et Baudelaire, par Natasha Belfort Palmeira
Un brouillon de Mme Aupick, par Catherine Delons
Deux lettres retrouvées, par Michel Brix
La Mort des artistes dans une lettre inédite à Eugène de Broise, par Aurélia Cervoni