
Publié le par Marc Escola
Le « dossier Baudelaire », parmi les plus étudiés de la littérature moderne, pourrait sembler clos, hermétique à toute enquête critique qui entendrait saisir une quelconque méthode de composition de l’œuvre. D'autant que le poète revendiquait de ne donner à lire qu'un produit parfaitement fini, laissant le public à l’écart des "fards", des "chaînes", des "repentirs", des "épreuves barbouillées" – bref, de "toutes les horreurs qui composent le sanctuaire de l’art".
Lire sur Fabula l'introduction de l'ouvrage…
Andrea Schellino est docteur de l’université Paris-Sorbonne, où il a soutenu en 2017 une thèse sur "Le concept de décadence de Baudelaire à Nietzsche". Il est responsable du groupe Baudelaire de l’ITEM.