

Michel de Certeau et la littérature
Actes du Colloque de Paris, 19-21 avril 2017
Textes réunis par Jean-Christophe Abramovici et Christian Jouhaud, accompagnés par Boris-Lyon Caen, Philippe Roger et François Desmoulières
et mis en ligne avec le soutien de l'Université de Lausanne.
- Introduction
Christian Jouhaud et Jean-Christophe Abramovici - Jean-Joseph Surin et « L’illettré éclairé » : une série littéraire (1968-1982)
Patrick Goujon et Sophie Houdard - La Fable mystique : une phénoménologie de l’écriture
Diana Napoli - Le faire poétique chez Michel de Certeau
Clément Duyck - Pratique du réemploi textuel et lecture de soi-même chez Michel de Certeau
Andrés G. Freijomil - « Roman » psychanalytique et écriture de l’histoire
Christian Jouhaud - Histoire, littérature et psychanalyse. Michel de Certeau et l’école des Annales (1974-1975)
Denis Pelletier - De quel genre littéraire l’hagiographie est-elle le nom chez Michel de Certeau ?
Agnès Guiderdoni - Michel de Certeau : critique et pratique de la littérature
Michèle Clément - Certeau cannibale ? Les ressources de la « relation “ethnographique” »
Boris Lyon-Caen - Le sens de l’écriture chez Michel de Certeau
Pierre Antoine Fabre - « Le supplément défectueux »
Alain Cantillon - La première personne du singulier
Dinah Ribard - Michel de Certeau et les préfaces des mystiques
Norihiro Morimoto - La fiction-sorcière : contre la littérature ?
Laurence Giavarini - Le concept de braconnage. Présences de Borges dans l’œuvre de Michel de Certeau
Annick Louis - Michel de Certeau et l’écriture poétique de l’histoire
Daniel Wanderson Ferreira - L’instant littéraire. Une « tactique » dans la configuration du savoir moderne d’après Michel de Certeau
Mohammed Chaouki Zine - « Prises » et « reprises de paroles ». Michel de Certeau au miroir des « écrivains subalternes »
Romuald Fonkoua - Quand le diable écrit et publie. Le littéraire comme pratique sociale dans la correspondance de Surin et La Possession de Loudun
Nicolas Schapira - Les traces littéraires dans La Fable mystique
Jean-Christophe Abramovici - Conclusions
François Trémolières