Publié le par Marie Berjon (Source : Classiques Garnier)
L’hylémorphisme aristotélicien ne concerne pas seulement la relation entre la matière sensible et la forme, mais s’applique à celle qu’entretiennent les « parties » de la forme. Par l’analyse de ce dernier cas, cet ouvrage entend montrer toute la puissance explicative et unificatrice de l’hylémorphisme.