Alfred SIMON, Jean Vilar
La Renaissance du Livre, collection Paroles d'Aude, 2001, 250 p.
EAN : 9782804605117
18,95 €
Présentation de l'éditeur :
« Que reste-t-il de l'oeuvre de Jean Vilar, trente ans après sa disparition ? A première vue, peu de chose. Que reste-t-il du comédien, du metteur en scène ? Que reste-t-il du théâtre quand les décors sont remontés aux cintres, que le rideau est tombé ? Et s'il n'y a ni cintres ni rideau ? Le service public du théâtre, le beau souci de Jean Vilar, use ses dernières hardes à l'ombre d'une culture en paillettes, et Avignon n'en finit pas de traquer les fantômes du père sur ses remparts. Vilar n'a pas fondé le théâtre en France. Fils de personne, il s'est reconnu l'héritier de Gémier, de Copeau, de Dullin. Mais aussi pionnier, découvreur d'espaces immémoriaux, ordonnateur de fêtes, citoyen subversif et anarchiste fidèle à la loi. Ce qui reste de Vilar ? L'exigence et une esthétique qui passent par une éthique, une morale et une politique de l'art du théâtre. »