Essai
Nouvelle parution
V. Woolf, Les Livres tiennent tout seuls sur leurs pieds

V. Woolf, Les Livres tiennent tout seuls sur leurs pieds

Publié le par Nicolas Geneix

Virginia Woolf, Les Livres tiennent tout seuls sur leurs pieds

Paris : Les Belles Lettres, 2018.

224 p.

EAN 9782251447230

15,00 EUR

Présentation de l'éditeur :

Pour Virginia Woolf, les livres doivent tenir tout seuls sur leurs pieds : ils n’ont besoin d’aucune exégèse pour être appréciés par leurs lecteurs. C’est vrai mais cela ne l’a pas empêchée – pour notre bonheur – de consacrer plus d’un article à ses confrères auteurs vivants ou morts et à leurs oeuvres. Et quels articles ! On en trouvera ici quelques exemples parmi les plus pertinents en même temps que certaines de ses réflexions sur la lecture et l’écriture. Ainsi défilent pour notre plus heureux plaisir, éclairés par la fulgurante intelligence de la grande Virginia, Robinson Crusoé, David Copperfield, Tchekhov, Lewis Carroll ou encore Thoreau, Conrad et Jane Austen. Ce sublime panorama se termine par ses réflexions relatives à une question qui reste d’actualité : « Est-ce que l’on écrit et publie trop de livres ? ». Celui-ci, du moins, nous manquerait s’il n’existait pas.

Table des matières :

Préface de Micha Venaille
Les mots 
Robinson Crusoé 
David Copperfield 
Lewis Carroll
Les questions de Tchekhov
La moitié de Thomas Hardy 
Le manteau élimé de Keats 
Les maisons des grands hommes 
Comment doit-on lire un livre ? 
Un roman freudien 
Prélude ou post-scriptum ? 
Un esprit terriblement sensible 
La tour penchée 
Le mentor et le crocus
L’artiste et la politique
Thoreau 
Est-ce de la poésie ? 
La géographie de la littérature
La jeunesse de Mr. Conrad 
Jane Austen l’apprentie 
Chronique/Critique 
Post-scriptum 
Est-ce que l’on écrit et publie trop de livres ? 
Notes 
Sources

Virginia Woolf (1882-1941) fut l’une des pionnières de la littérature moderne avec ses romans (Croisière, Mrs. Dalloway, Les Vagues) et ses essais (Le Commun des lecteurs où elle fait une large place à la littérature russe du XIXe siècle et au travail d’écriture en général). Mais aussi une féministe, dans sa vie comme dans son œuvre (Un Lieu à soi, Trois Guinées). Elle reste l’une des pierres angulaires de la littérature anglaise de son siècle.