Publié le par Marc Escola
Ce dialogue avec Bernard Aspe donne à Jacques Rancière l’occasion de revenir sur les enjeux fondamentaux de son long travail d’éclaircissement du « partage » qui lie art et politique. Ce petit livre poursuit et actualise sa réflexion sur la question du sensible en tant qu’expérience d’un monde commun, sur le communisme des artistes, sur les effets de l’art comme « critique » ou comme « résistance ».
« L’entretien qu’on lira constitue en même temps la suite du Partage du sensible et la synthèse de ce qu’il m’est possible de dire aujourd’hui sur le cœur esthétique de la politique » — Jacques Rancière.