Ce qui ne meurt pas est à la fois le premier et le dernier roman de Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889). C’est l’œuvre d’une vie, écrite à vingt-sept ans mais publiée à soixante-quinze.
L’auteur des Diaboliques y a mis tout de lui : son génie, son élégance, sa sueur et son sang. Et ses fantasmes : ambivalence sexuelle, adultère, inceste, nécrophilie…
Dans une prose sertie comme une pierre précieuse, le dandy des lettres française signe avec ce huis-clos dans un chateau normand un véritable Memento mori.
« Une fleur de l’art, éclatante et mystérieuse » — Léon Bloy
« Dans Ce qui ne meurt pas, le plus audacieux des écrivains a poussé l’audace jusqu’à des limites que l’on était à peine en droit d’attendre de lui. » — La Marseillaise.
—
Préface de Vigor Caillet (Docteur et agrégé de lettres, Vigor Caillet est professeur de chaire supérieure au lycée Balzac. Spécialiste de l’oeuvre de Jules Barbey d’Aurevilly, il est l’auteur d’Écriture de l’hybride et de l’excès dans l’oeuvre romanesque de Barbey d’Aurevilly publié chez Honoré Champion et de Forêt romantique aux Presses universitaires de Bordeaux)