« Monsieur, je vois sur ce rayon, derrière vous, les Études philosophiques de Balzac. Avez-vous lu La Recherche de l’absolu? Oui, naturellement, vous l’avez lu. Je ne sais si vous êtes de mon avis, mais j’estime que ce roman est, avec Louis Lambert, la plus belle œuvre de Balzac, la plus noble et aussi la plus dramatique. » (La Poupée sanglante, t.1, p. 41)
Cher, cher, cher Gaston Leroux, comme disait Francis Lacassin, l’un des grand « passeurs » de cet écrivain des merveilles noires… cent années se sont écoulées depuis ce jour de 1927 où, jeune encore, ce grand petit homme a refermé pour jamais le livre du Fantôme, de Chéri-Bibi, de Rouletabille, des Ténébreuses et de Mister Flow. La question de sa légitimité, au sein des Lettres, ne se pose plus – ces questions d’un autre âge s’étant heureusement taries, et le « para » littérature a perdu son condescendant préfixe pour redevenir, tout uniment, de la littérature. Bien sûr, de temps en temps, des bouffées dynastiques renvoient chacun à sa « littérature de genre », mais, de l’élitaire au populaire, les hiérarchies se sont dissipées, et il n’est plus besoin de s’acharner à monter que Leblanc, Lerouge ou Leroux sont, à n’en pas douter, de « grands » écrivains – comme s’il fallait prendre leur défense, comme si nos grands romanciers du premier vingtième siècle avaient besoin de notre avocature… Ces problématiques sont loin de nous, et reste à questionner les générations de lecteurs qui ont depuis touché au secret de Mlle Stangerson et à la mécanique céleste de Gabriel, la Poupée sanglante.
Que, dans le cadre des "séries policières" (RLM Minard/Garnier, dir. Patrick Marot), l’on propose alors à la sagacité des amants du Bizarre une réflexion « patrimoniale » sur cette œuvre semble aller de soi – tant le Monte-Cristo des catacombes (le roi-mystère) voisine le paradis refusé des succès théâtraux ! Pourtant, nous ne souhaitons pas faire de cette rencontre une célébration antiquaire, ni un inventaire respectueux. Il y a de l’intransparence, et c’est cette intransparence – fantastique, surnaturelle, étrange, trompeuse – que nous nous proposons de scruter ; ce sera donc le volume V des "séries policières".
L’actualité critique de Leroux est vive, comme en témoignent deux récentes productions novatrices et généreuses dans leur herméneutique : il s’agit des Bagages de Gaston Leroux (sour la dir. Daniel Compère, Le Rocambole, n° 62, printemps 2013), et d’Enquête sur le fantôme de l’opéra de Gaston Leroux de Martine Kahane (Paris, Classiques Garnier, coll. « Études romantiques et dix-neuvièmistes », 2024. Ces textes disent la vitalité du « novum » leroussien, éclairé par les récents narratifs critiques autant que par le ré-enchâssement constant du disparate de l’œuvre dans l’esthétique contemporaine. C’est pourquoi nous aimerions fédérer les propositions autour du thème transhistorique des puissances de l’imaginaire – qu’il soit fantastique, science-fictif, juste étrange ou délibérément surnaturel.
Rappelons que dans toutes ses œuvres, Leroux n’eut qu’une seule espérance : fabriquer de la vie avec de l’inerte. La réminiscence frankensteinienne est forte, mais appauvrie de la mystique romantique, transcendantale et lyrique, qui égalait le baron de Mary Shelley à un nouveau et tragique Prométhée. Chez Gaston Leroux, le modèle est plutôt Claude Bernard ! La morale – au sens de moralisme – est passée, comme si le scientifique était le messie du genre humain, le transgresseur sacré, l’intermédiaire privilégié entre les temps qui sont et ceux qui viennent… Rassurant et inquiétant, lucide et délirant, rationnel et sorcier, le héros leroussien typique n’a pourtant rien d’un aristocrate illuminé, habité par les démons et les anciens dieux. C’est généralement un petit-bourgeois besogneux, qui raccommode des horloges le jour, et des cadavres la nuit. Le baron est devenu artisan, le monde s’est replié, rétréci ; le miracle que représente le surgissement de la « créature » n’en est peut-être que plus grand, radical, absolu d’incongruité et de violence impuissante. Il faut rappeler encore combien, de Washington Irving à Alexandre Dumas, la frénésie révolutionnaire française, y compris à travers les annonciateurs énigmatiques que sont Cagliostro ou Mesmer[1], capillarise et sature les imaginaires occidentaux !
Tout se dissémine donc, se disperse, s’arrache, pour subir sous l’impact d’une combinatoire romanesque et sérielle complexe, une nouvelle alliance monstrueuse ou bénie, selon les caprices de l’auteur. Ce clinamen onirique qui préside aux épisodes anticipe constamment la mort des héros mythiques, qui meurent souvent déchirés : Orphée, Osiris... Gilbert Durand cite encore Marsyas et Dionysos [2]. Instauration, saccage, restauration sont à ce titre les pulsions fondamentales de la morale gothique en action : aussi, l’univers leroussien est-il hyperboliquement peuplé de prosecteurs et de relieurs, qui tour à tour assument la pulsion de mort, ou l’élan vital, dans l’économie du récit. Les titres aiment à se répondre, pris dans la gelée précieuse du « kitsch » funèbre que réclamait alors le public : un fantôme contre une poupée, la danse macabre et Coppélia, la nékuya orphique et l’atelier frankensteinien.
Oui, le passé fait retour, nervure aporique, et court de Descartes à Baudelaire, réconciliant à travers ces deux sommets de l’esprit ce que Leroux considère peut-être comme le plus séduisant des hybrides : la Raison et l’ivresse, l’apollinien et le dionysiaque, par lui et en lui de nouveau Un, indestructible dualité du vingtième siècle. S’il faut « enchanter le réel », il faut aussi rationnaliser les spectres, les vampires, les amours. Ainsi sommes-nous bien aux confins de deux morales littéraires, l’enquête « séculière » et le « mystère » gothique, les deux luttant encore au début du xxe siècle dans l’habitus des lecteurs, comme en témoigne le titre d’un des ouvrages de Jean-Claude Vareille, L’Homme masqué, le Justicier et le Détective, où il avance que « la scène, c’est l’inquiétante étrangeté de ce qui nous hante et que nous voyons projeté hors de nous précisément parce que c’est ce qui nous habite » [3]. Tout ramène à E.T.A. Hoffmann qui, dans l’un des récits des frères Sérapion, rapporte l’aventure d’Henrich von Ofterdingen qui, pour conquérir le cœur de la belle Mathilde prend des leçons de chant d’un nécromancien, Klingsor, et ce, même au prix d’un pacte avec le démon.
Vers une ontophénomologie de la merveille ?
Il est certain que les mythes en travail dans les romans de Leroux sont porteurs d’angoisse, sinon d'éthique : la masculinité y défaille entre des codes moraux qui n’ont plus cours, et la violence radicale et oppressante que représentent la guerre et la destruction d’une Europe encore à peu près intacte. La phobie de la dissémination, de la dispersion mutilante, contamine alors totalement les récits : la résolution romanesque du conflit entre chair et âme passe par l’appel à la mort, prétexte mélodramatique.
Alors, cher, cher, cher Gaston Leroux, permettez que cent ans après votre fausse disparition (car qui pourrait y croire un seul instant ?) nous allions en votre compagnie nous asseoir dans le Fauteuil hanté, pour contempler le monde que vous nous avez laissé – et qui, entre rêve fou et cauchemar habilement distillé, a tout de « l’empire caché ». Alors, cher Lerouxletabille, « peut-être, un jour… un jour, peut-être… » ?
Les items possibles seraient donc nombreux, mais tous capillarisés par la problématique du surnaturel expliqué ou, à tout le moins, du fantastique post-vernien.
- Bilan critique
- Journaliste et dramaturge
- Transmédialité de l’œuvre
- Réécritures et subculture fanique autour du Fantôme de l’Opéra
- Leroux dans le monde (diffusion)
- Y a-t-il un Leroux politique ?
- Le monde selon Leroux : post-colonial avant l’heure ?
- L’étrange et l’étranger
- La ménagerie de Monsieur Leroux
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Isabelle-Rachel Casta
Laboratoire TEC, Université d'Artois, Directrice de la RLM « séries policières », Garnier/Minard
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Remise des propositions : 15 mars 2025
Notification d’acceptation et feuille de style : mai 2025
Remise des textes complets : octobre 2025
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Bibliographie indicative
Littérature première : œuvres majeures de Gaston Leroux et leurs éditions[4]
Aventures extraordinaires de Rouletabille reporter (Les). Le Mystère de la chambre jaune. Le Parfum de la dame en noir, Rouletabille chez le tsar. Le Château noir. Les Étranges Noces de Rouletabille. Rouletabille chez Krupp. Le crime de Rouletabille. Rouletabille chez les Bohémiens. Édition établie par Francis Lacassin, Paris, Laffont, coll. « Bouquins », 1988.
Série Chéri-Bibi :
· 1913 : Premières aventures de Chéri-Bibi ; Paru en feuilleton dans Le Matin sous le titre Chéri-bibi, puis chez Arthème Fayard en 1914.
· 1919 : Nouvelles aventures de Chéri-Bibi ; Paru en feuilleton dans Le Matin sous le titre La Nouvelle Aurore, puis chez Pierre Lafitte en 1921.
· 1925 : Le coup d'état de Chéri-Bibi, Paru en feuilleton dans Le Matin sous le titre Chéri-Bibi, le marchand de cacahouètes, puis aux éditions Baudinière en 1926.
La série Chéri-Bibi parue aux éditions du Masque reprend quelques aventures de Chéri-Bibi :
· Les cages flottantes, coll. « Labyrinthes » n° 192, 2011
· Chéri-Bibi et Cécily, coll. « Labyrinthes » n° 193, 2011
· Palas et Chéri-Bibi, coll. « Labyrinthes » n° 202, 2012
Aventures incroyables. Le Capitaine Hyx. La Bataille invisible. La Poupée sanglante. La Machine à assassiner. L’Homme qui a vu le diable. Le Cœur cambriolé. L’Homme qui revient de loin. Histoires épouvantables. Mister Flow, Édition établie par Francis Lacassin, Paris, Laffont, coll. « Bouquins », 1992.
Chefs-d’œuvre de Gaston Leroux (Les). Romans fantastiques. L’Homme qui a vu le diable. Le Cœur cambriolé. La Double Vie de Théophraste Longuet. Illustrations originales de Jean Gourmelin, Paris, Laffont, Le Cercle du bibliophile, 1970.
Du capitaine Dreyfus au pôle Sud, Paris, UGE, 10/18, 1985.
Fantôme de l'Opéra (Le), Paris, Le Livre de poche, 1991, n° 30/0509/7.
Fauteuil hanté (Le), Paris, Librio, 2002.
Agonie de la Russie blanche (L’), Paris, Édition des Autres, 1978, Le Serpent à plumes, 1998.
Maison des juges (La). Supplément du n° 3340 de L’Illustration, samedi 2 mars 1907.
Œuvres. Le Fantôme de l'Opéra. La Reine du Sabbat. Les Ténébreuses. La Mansarde en or Préface, chronologie, bibliographie, filmographie, télé-filmographie et choix de documents par Francis Lacassin, Paris, Laffont, coll. « Bouquins », 1984.
Sur mon chemin, Paris, Flammarion, 1901.
Un homme dans la nuit, Paris, Libretto,2017.
Vainqueurs du pôle Sud (Les), Caen, Éditions Laurence Olivier Four, Largevision, 1970.
On ajoutera:
· Le Roi Mystère, Paru en feuilleton dans Le Matin, puis chez Arthème Fayard et Cie en 1911.
· 1911 : Balaoo, Paru en feuilleton dans Le Matin, puis chez Jules Tallandier la même année.
· 1912 : L'Épouse du Soleil, Parue en feuilleton dans Je sais tout, puis chez Pierre Lafitte en 1913.
· 1916 : Confitou, Paru en feuilleton dans Le Matin, puis chez Pierre Lafitte en 1917.
· 1916 : La Colonne infernale, Paru en feuilleton dans Le Matin, puis chez Arthème Fayard en 1917.
· 1920 : Tue-la- Mort, Paru en feuilleton dans Le Matin, puis chez Jules Tallandier en 1921.
· 1921 : Le Sept de trèfle, Paru en feuilleton dans Le Matin, puis chez Jules Tallandier en 1922.
· 1924 : La Farouche Aventure, paru en feuilleton dans Le Journal sous le titre La Coquette punie, puis chez Gallimard en 1925.
· 1925 : Le Fils de trois pères, Paru en feuilleton dans Le Journal, du 19 février 1925 au 18 mai 1925, sous le titre Hardigras, puis aux éditions Baudinière en 1926.
· 1925 : Il y a des pas au plafond... Paru en feuilleton dans L'Écho d'Alger du 12 mai 1925 au 16 juin 1925.
· 1926 : Les Mohicans de Babel. Paru en feuilleton dans Le Journal, puis aux éditions Baudinière en 1928.
Il faut naturellement joindre les adaptations théâtrales, ainsi que les ciné-romans :
· 1897 : Le Turc-au-Mans, folie en un acte de Gaston et Joseph Leroux, théâtre de la Gaîté-Montparnasse (17 avril)
· 1907 : La Maison des juges, pièce en trois actes, théâtre de l'Odéon (26 janvier)
· 1908 : Le Lys, pièce en quatre actes en collaboration avec Pierre Wolff, théâtre du Vaudeville (18 décembre)
· 1911 : L'Homme qui a vu le diable, pièce en deux actes d'après la nouvelle homonyme, théâtre du Grand-Guignol (17 décembre)
· 1912 : Le Mystère de la chambre jaune, pièce en deux actes d'après le roman homonyme, théâtre de l'Ambigu (14 février)
· 1913 : Alsace, pièce en trois actes en collaboration avec Lucien Camille, théâtre Réjane (10 janvier)
· 1918 : La Gare régulatrice, vaudeville en trois actes en collaboration avec Yves Mirande, théâtre de la Scala (16 janvier)
Ciné-romans :
· La Nouvelle Aurore (1919), en 16 épisodes ;
· Tue la mort (1920), en 12 épisodes, dans lesquels sa fille Madeleine, âgée de 13 ans, tient le rôle de Canzonetta ;
· Le Sept de trèfle (1921), en 12 épisodes ;
· Rouletabille chez les bohémiens (1922), en 10 épisodes.
Deux œuvres posthumes :
· Ton maître, Roman autobiographique inédit écrit avant 1900 et publié sous forme d'extraits dans les Cahiers semestriels du cercle Gaston Leroux en 1977-1981, et sous le titre Les Possédés du stupre dans Playboy en juin 1978.
· Pouloulou, Manuscrit inédit découvert par les héritiers de Leroux et authentifié par Francis Lacassin, publié chez Michel Lafon en 1990.
Une œuvre inachevée :
· 1927, Les Chasseurs de danses (roman inachevé), Paru en feuilleton dans le Journal des voyages, puis complété par Charles de Richter.
Sauf mention contraire, tous les titres sont disponibles dans la collection « Bouquins », Robert Laffont.
Littérature seconde
Alfu Gaston Leroux, Parcours d’une œuvre, Amiens, Encrage, 1996.
Bizarre, « Hommage à Gaston Leroux », Arcanes/Losfeld, n° 1, 1953. Textes de Pierre Brasseur, Jean Ferry, Adonis Kyrou, Frédéric Lefebvre, Alfred-Gaston Leroux, Gaston Leroux, Jean Rougeul.
Cahiers semestriels du cercle Gaston Leroux, Pierre et Madeleine Lépine-Leroux (éd), 1977-1981, huit numéros, hors commerce.
Casta Isabelle (dir.), La littérature dans les ombres : Gaston Leroux et les œuvres noires, Paris, Caen, Lettres modernes-Minard, coll. « L’Icosathèque », 21, 2002.
Casta Isabelle, Étude sur Le Mystère de la chambre jaune et Le Parfum de la dame en noir, de Gaston Leroux, avec Vincent Vanderlinden, Ellipses, coll. « Résonances », Paris, 2007.
Casta Isabelle, Le Corps comme territoire de fiction dans quelques romans de Gaston Leroux, Lille, Presses universitaires du Septentrion, 1998.
Casta Isabelle, « Le travail de l'obscure clarté », in Le Fantôme de l’opéra de Gaston Leroux, Paris, Classiques Garnier, « Archives des lettres modernes, » n° 268, 2023.
Colin Jean-Paul, Le Roman policier français archaïque, Peter Lang, 1984.
Compère Daniel (dir.), « Les bagages de Gaston Leroux », Le Rocambole, n° 62, printemps 2013
Couegnas Daniel, Introduction à la paralittérature, Seuil, 1992.
Europe, « Gaston Leroux », n° 626-621, juin-juillet 1981. Articles de Jacques Baudou, Frédéric Blin, Jean-Paul Colin, Daniel Compère, Gilles Costaz, Daniel Couegnas, Evelyne Diebolt, Maurice Dubourg, François Ducos, Hervé Dumont, Pierre-Pascal Furth, Jacques Goimard, Francis Lacassin, Jean-Claude Lamy, Jean Leclercq, Madeleine Lépine-Leroux, Jules-Gaston Leroux, Maurice Limat, Yves-Olivier Martin, Jean-Claude Vareille.
Fau Guillaume (éd.), Gaston Leroux : de Rouletabille à Chéri-Bibi, Paris, Bibliothèque nationale de France, 2008.
Kahane Martine, Enquête sur le fantôme de l’opéra de Gaston Leroux, Paris, Classiques Garnier, coll. « Études romantiques et dix-neuvièmistes », 2024.
Kalifa Dominique, « Gaston Leroux », in Dominique Kalifa, Philippe Régnier, Marie-Ève Therenty et Alain Vaillant (dir.), La Civilisation du journal : histoire culturelle et littéraire de la presse française au XIXe siècle, Paris, Nouveau Monde Éditions, coll. « Opus Magnum », 2011, 1762 p. (p. 1301-1304).
Midi-minuit fantastique, « Aujourd’hui Gaston Leroux » », Losfeld, n° 23, automne 1970, et n° 24, hiver 1970-1971. Textes de René-Jean Chaffard, Francis Lacassin, Jean Rollin.
Roudaut Jean, « Enfer et mastic ou Gaston Leroux en relief», Critique, n° 64, 1961. Repris dans Ce qui nous revient, Gallimard, 1980, p. 69-88).
Vareille Jean-Claude, L’homme masqué, le justicier et le détective, Limoges, PUL, 1989
Sites internet
https://wwwgaston-leroux,com/archives/
[1] L’un des Tribunaux de l’impossible est d’ailleurs consacré au baquet de Mesmer, qui montre le magnétiseur soumettant les grandes dames de la cour de Louis XVI à d’élégantes convulsions, réelles ou feintes.
[2] Cf. Gilbert Durand, Les structures anthropologiques de l'imaginaire, p. 90.
[3] Jean-Claude Vareille, L’homme masqué, le justicier et le détective, Limoges, PUL, 1989, p.150-151.
[4] Merci à M. Kahane pour ce premier regroupement.